
De nos jours, séjourner dans l’administration publique nigérienne, avec peu d’expérience, laissera un goût amer à toute personne critique.
Tout d’abord y trouver une place, est un problème ; la garder, ou comme disent les « niaméyens » « percer » en est un autre.
Pour comprendre un instant ce système, il faut le connaitre : être dedans. Il faut être dans le réseau, sinon : on est « mal parti ». C’est triste, mais c’est comme cela. Etre dans le système revêt plusieurs facettes, toutes empreintes de compromission.